C’est à l’hôpital de district de Lomié, le 28 février 2025, qu’il a été confirmé que les trois fillettes avaient perdu leur hymen.
Une affaire choquante a éclaté dans la région de l’Est Cameroun à Lomié. Il s’agit d’un élève de 11 ans, en classe de CE2, accusé d’avoir violé trois fillettes, en classe de Sil. Ces faits ont été vérifiés le 28 février 2025. Lorsque, les fillettes ont été conduites à l’hôpital de district de Lomié, pour les examens médicaux. C’est ainsi qu’il a été confirmé par le personnel médical que les fillettes n’avaient plus en effet leur hymen.
Cette affaire a suscité une grande indignation dans la communauté locale. En particulier, les parents des victimes, qui veulent en découdre avec le mis en cause depuis lors. De ce fait, les éléments de la gendarmerie ont intervenu avant de le garder pour sa propre protection. Une enquête est aussi en cours pour connaître les circonstances de ces mauvais actes.
Il imitait ses grandes sœurs.
Depuis son maintien à la gendarmerie, le garçon est en exploitation. Ainsi, il a pu expliquer aux forces de l’ordre les raisons de ses actes et les circonstances dans lesquelles ils les commettaient. Selon le garçon, il imitait ses grandes sœurs, car il les voyait souvent commettre ce genre d’action. Son mode opératoire était qu’il attendait la sortie des classes pour repérer ses victimes.
C’est ainsi que de manière successive, il est parvenu à mettre la main sur 3 petites filles. Mais un peu plus tard, la suite de l’enquête a révélé que le nombre de victimes serait passé à 7. Maintenant, plusieurs questions se posent. Notamment comment il piégeait ses victimes et où il les amenait pour les violer, etc. La suite de l’enquête va sans doute apporter plus d’éléments sur ce sujet.
Par ailleurs, cette affaire rappelle aux parents la nécessité d’être vigilants sur les fréquentations et les activités que font leurs enfants. Que ce soit à la maison ou à l’extérieur. Car ces derniers sont parfois exposés aux scènes érotiques, comme l’a révélé ce cas. Dans lequel, le garçon a dit qu’il le faisait, parce qu’il voyait certains membres de sa famille le faire.