Douala :une étudiante lâchement abusée dans un centre de santé

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La scène s’est passée entre  la nuit de Samedi et Dimanche dernier dans la ville de Douala où un vigile d’un  centre de santé de la place s’est laissé aller à ses pulsions et a  violer  une patiente  inconsciente.

La nommée Stevie N. étudiante de 22 ans résidant à Maképè  un quartier de l’arrondissement de Douala V,  a lâchement été violée  par  Jean-Marie T vigile, dans un centre de santé situé au quartier  Bepanda-Bonabo, à Douala  où elle était internée.  En effet, la jeune fille a contracté un palu le samedi 4 Mai dernier.  Ayant informée sa mère qui se retrouvait dans la ville de Yaoundé, cette dernière  lui a demandé de se rendre au centre de santé qui suivait constamment la famille. Dans cet établissement,  elle sera prise en charge avec un  traitement composé d’injections et autres soins.

 

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Après avoir reçu ses soins, la jeune fille  affaiblie sur l’effet des médicaments va s’endormir dans la chambre où elle était internée avec d’autres patientes.  L’une des malades une fois sa perfusion terminée, va se lever pour sortir de la salle. Quand les deux vigiles qui surveillent le centre de santé entament leur  ronde cette nuit-là,  c’est Jean-Marie T qui est chargé du contrôle intérieur. En passant devant la porte n°3, il  voit la jeune fille  légèrement  couverte et inconsciente sur son lit.  Plus tard, la jeune fille  va expliquer qu’elle ne portait rien en dessous, en raison de la chaleur qui faisait dans la pièce suite à une coupure d’énergie électrique.

Electricité

 

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Jetant son coup d’œil dans la pièce, le vigile va succombé au charme de la jeune fille et va abusé d’elle. Dans son état  affaiblie, elle va essayé de se débattre du mieux qu’elle peut. alerté par les bruits, le second vigile en arrivant sur les lieux, va surprendre son collègue en flagrant délit avec son pantalon en dessous de ses jambes. C’est ainsi qu’il va aussitôt  alerter  l’infirmière qui était de garde et  les forces de l’ordre par la suite.  En présence de la police, le forfaitaire n’a même pas tenté de nier  les faits et va déclaré, « Ce que j’ai vu (…) Vous-même vous auriez cédé à la tentation ».

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