La réponse aux pandémies qui secouent le monde reste une préoccupation majeure de l’Oms. Les États membres de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) viennent d’adopter un accord international historique. Pour renforcer la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies.
L’organisation mondiale de la santé est en croisade contre les pandémies. Les États membres viennent d’adopter un accord international historique pour renforcer la prévention. La préparation et la réponse aux pandémies. Cet accord est le fruit de plus de trois ans de négociations. Après la crise de la Covid-19.
Il vise à corriger les insuffisances passées en matière d’équité de coopération et de rapidité de réaction. L’accord renforce la collaboration entre pays, organisations internationales, société civile. Et secteur privé, et met en place un système de partage des agents pathogènes.
Le chef de l’OMS presse les pays de conclure l’accord sur les pandémies
Et des avantages pour garantir un accès équitable aux produits de santé essentiels. Un mécanisme financier de coordination et un réseau mondial de chaîne d’approvisionnement seront également mis en place pour lever les obstacles logistiques et financiers.
Menaces pandémiques futures
Le directeur général de l’Oms, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, salue l’adoption de cet accord. Il affirmant qu’il permettra une réponse plus rapide. Plus équitable et mieux coordonnée face aux menaces pandémiques futures.
L’accord doit encore être ratifié par au moins 60 États membres après l’adoption d’une annexe prévue pour l’année prochaine. Il symbolise une leçon tirée de la tragédie mondiale de la Covid-19. Et affirme la volonté de la communauté internationale de bâtir une réponse plus juste et coordonnée aux pandémies.
Reconnaissance des diplômes de la diaspora
Ledit accord a été adopté. Lors de 42e session du conseil des ministres du Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur. Qui s’est achevé le 23 mai 2025 à Conakry, en Guinée. Pendant cinq jours, les ministres, experts et partenaires ont débattu de questions clés. Telles que l’amélioration de l’enseignement des mathématiques, la création d’une académie virtuelle et la reconnaissance des diplômes de la diaspora.
Le ministre guinéen Alpha Bacar Barry a salué la confiance accordée à son pays. Pour présider le Cames pendant un an et s’est engagé à assurer un leadership actif. La session a également marqué le passage de témoin à la République gabonaise pour la prochaine session. Cet événement a montré l’engagement du continent africain pour une meilleure intégration scientifique et académique.