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Échanges commerciaux: pourquoi les pièces de 100, 50 se font rares.

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De plus en plus, les commerçants se plaignent de la rareté de la monnaie. Une situation déplorable qui n’est pas pour faciliter les échanges commerciaux.

« Désolé madame de ne vous rembourser . Je n’ai pas de pièces. Si vous en avez je pourrais vous servir….dommage ». Des plaintes de ce genre sont légion dans tout ce qui tient lieu d’espaces marchands. Dans les transports urbains, la situation est plus que préoccupante. « Vous ne pouvez pas travailler en toute quiétude si vous n’avez pas de monnaie.

De nombreux clients possèdent de gros . Les pièces de 100 Fcfa sont très rares. Ceux qui en possèdent vous les revendent très chers », se plaint un conducteur de taxi ordinaire. Qui dit ne pas comprendre le pourquoi du comment. Pourtant, la Beac vient d’annoncer que pas moins de 150 millions de pièces sont désormais disponibles pour la CEMAC.

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Selon la correspondance de la Banque des États de l’ Centrale (Beac), 150 millions de pièces de monnaie ont été injectées dans le circuit bancaire.

Cette initiative , nous dit-on, permet de solutionner le récurrent problème dans la sous région. La pénurie de petites pièces de monnaie, qui entrave les transactions quotidiennes et pèse sur l’économie informelle. « Elle vise à améliorer la liquidité du système financier de la région et à garantir que les transactions de petite valeur puissent se dérouler sans entrave ».

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Depuis près de 8 ans, le et les autres pays de la zone , font face à une pénurie de pièces de monnaie. En novembre 2019, la Beac annonçait un allègement de cette situation en mettant en circulation un surplus de pièces de monnaie. Une initiative qui pourrait être concrète après l’injection de ces pièces.

Soulignons que cette initiative concerne l’injection de pièce de 100, 50 et 25 Fcfa de la gamme 2006. Visant à répondre à une problème récurrent qui entrave les transactions quotidiennes et pèse sur l’économie informelle. Selon une source à la Beac, « la mise en œuvre efficace de ces mesures sera évaluée à l’aune du taux de dissémination des pièces de monnaie au sein du public réalisé par chaque , lequel devrait être porté impérativement par tous les Centres à 100% au plus tard au 31 décembre 2024 ».

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