Soupçonnée d’infidélité par son époux, un mari coupe sa femme à coups de machette le 22 Juillet dernier dans la ville de Bafoussam. Cette dernière a violemment été blessée à la tête, aux bras et aux jambes avant de perdre connaissance.
Bafoussam, une ville de l’ouest du Cameroun, a été le théâtre d’une scène choquante. Une femme la trentaine sonnée a été violemment agressée par son mari, armé d’une machette selon un confrère Equinoxe.
L’incident s’est produit dans leur domicile le 22 Juillet dernier. Croyant être cocufié, le conjoint s’est jeté sur son épouse en lui infligeant des coups de machette à la tête, au bras, et aux jambes jusqu’à évanouissement. Selon les déclarations de dame Édith actuellement admise en soin intensifs, la querelle a débuté en raison d’un malentendu.
Son mari l’accusait de négligence envers leur fils malade. Mais il l’accusait aussi de porter à l’heure actuelle un enfant n’étant pas de lui. Or, Edith dans la dispute a avoué être en pleine période de menstruation. Mais le mari ne voulant rien entendre, a décidé de l’expulser de la maison.
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Elle a donc pris la décision de s’en aller, mais a prévenu son mari qu’elle partirait seule et le laisserait avec tous leurs 5 enfants. Ceci a été l’événement déclencheur qui a mis le feu aux poudres, poussant l’homme à se jeter sur sa femme en lui assénant des coups de machette au point d’intenter à la vie de son épouse.
Actuellement, le conjoint d’Edith meurtri de regrets par rapport à son acte a envoyé un message à sa belle-famille pour solliciter leur soutien dans cette étape qu’il qualifie de « difficile ». Un comportement qui ne correspond pas à l’image de son poste de Notable à Baleng. Il a été arrêté et placé en détention pour l’ interrogatoire.
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Prévenir la violence conjugale
Si l’attaque de Bafoussam rappelle malheureusement que la violence conjugale reste un fléau persistant dans de nombreuses communautés du Cameroun. Face à ceci, il est impératif de mettre en place des mesures de prévention ambitieuses et efficaces pour protéger les femmes et les enfants.
Cela passe tout d’abord par un renforcement du cadre légal et judiciaire, avec des peines plus sévères pour les auteurs de violences conjugales et domestiques. Les procédures d’urgence et de protection des victimes doivent également être améliorées pour leur garantir une meilleure sécurité. Aucune étiquette pour cette publication.
