L’importante quantité de cannabis a été saisie grâce à une opération de renseignement des forces de sécurité. La marchandise était habilement dissimulée sous des planches et des vivres frais dans un camion.
Une importante saisie de 2,4 tonnes de chanvre indien a récemment été réalisée à l’Ouest. Ce qui marque une étape significative dans la lutte contre le trafic de drogue. Selon des informations, la marchandise illicite était habilement dissimulée sous des planches et des vivres frais à bord d’un camion. Toutefois, les produits illicites ont fini par être interceptés par les forces de sécurité.
Malgré l’ingéniosité des trafiquants, les agents des forces de défense ont réussi à détecter la présence de cette cargaison interdite. Et ce grâce à un renseignement précieux exploité par une patrouille mixte. La découverte a permis d’éviter que cette quantité considérable de stupéfiants ne soit distribuée dans la région ou au-delà. Contribuant ainsi à la sécurité publique.
Lors de l’intervention, le chauffeur a pris la fuite en abandonnant le véhicule et sa cargaison. Laissant derrière lui une scène qui témoigne de la complexité du trafic de drogues dans cette zone. La saisie représente l’une des plus importantes dans la région de l’Ouest. Soulignant ainsi l’efficacité des opérations menées par les autorités.
La quantité de stupéfiants saisie est alarmante
La quantité de stupéfiants saisie est alarmante et montre l’ampleur du problème et la nécessité d’intensifier les efforts. Ceci dans l’optique de démanteler ces réseaux criminels. Les forces de sécurité continuent leur combat contre le trafic illicite. Renforçant leur vigilance face aux tactiques sophistiquées employées par les trafiquants pour dissimuler leurs marchandises.
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Cette opération souligne également l’importance du renseignement et de la coopération entre différentes unités. Afin de réussir à déjouer ces activités illégales.
La région de l’Ouest demeure l’un des points stratégiques dans la lutte contre le narcotrafic au Cameroun. Et ce avec des résultats encourageants. La sensibilisation et la prévention restent essentielles pour réduire la demande locale et limiter l’impact social du trafic de drogues dans cette zone.
