Les volleyeuses camerounaise apportent un démenti sur les accusations d’abus sexuels sur elles. Elles se sont exprimées dans un reportage diffusé le 20 Juillet dernier sur Equinoxe TV.
Concernant le feuilleton de viol au sein de la FECAVOLLEY (Fédération camerounaise de volley-ball), les joueuses de volleyball et présumées victimes d’abus sexuels de la part de leur entraîneur, ont catégoriquement réfuté toutes les allégations qui circulaient sur les réseaux sociaux à ce propos. C’était dans un reportage diffusé sur la chaine de télévision Equinox samedi dernier. En toute liberté, elles ont nié en bloc toutes ces accusations.
La joueuse Julia Beyala a spécifiquement déclaré qu’elle n’était pas enceinte et que les événements rapportés ne se sont pas produits. Une affirmation confirmée par sa mère à leur domicile de Simbock dans la ville de Yaoundé. D’autres témoignages tels que celui du père d’une des joueuses, ont également aidé à éclaircir la situation. Il a affirmé n’avoir jamais entendu sa fille se plaindre.
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Sandra Kenfack a elle-même précisé : « Aucun encadreur ne m’a jamais demandé de le suivre ou de l’accompagner dans une chambre. » Ces témoignages viennent en effet infirmer les rumeurs qui courent sur les réseaux sociaux depuis un certain temps déjà. Et qui font état de ce que des encadreurs de la FECAVOLLEY auraient enceintés plusieurs joueuses mineures.
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Dans des récentes déclarations, l’entraîneur adjoint national des équipes féminines U17 et U19 de volleyball et le président de la FECAVOLLEY, Bello Bourdanne, tous deux ont fait part de leur indignation envers la mauvaise réputation qui est attribuée à la FECAVOLLEY .
Le porte-parole de la FECAVOLLEY a déclaré à cet effet que le dépôt d’une plainte a déjà été faite afin de clarifier cette affaire. Jusqu’à présent, l’enquête lancée le 4 juillet dernier et menée par une commission indépendante est toujours en cours.
