Les auteurs des cas de violences contre le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique dans la ligne de mire du gouvernement.
Le monde entier a été témoin. A travers les réseaux sociaux, des images montrant une scène d’agression. Contre le ministre de la jeunesse et de l’éducation civique, Mounouna Foutsou et l’ambassadeur du Cameroun en Belgique.
La scène se déroule dans la soirée du 28 février 2025. Alors que le membre du gouvernement préside la cérémonie de clôture du mois de la jeunesse. Dans le cadre d’une réunion regroupant des jeunes de la diaspora. Selon le gouvernement, un groupuscule de la brigade antisardinards serait à l’origine de la brutalité subie par le ministre.
Le Gouvernement dit déplorer et condamner avec la plus grande fermeté. Ces comportements irresponsables et barbares. Des actes insensés. Dirigés contre les représentants de l’Etat. Mobilisés dans le cadre de la mise en œuvre des politiques publiques visant l’insertion socio professionnelle des jeunes.
Des mesures contre les auteurs
Et qui, insiste René Sadi, sont en totale contradiction avec les mobiles que clament les auteurs. Pour les expliquer ou les justifier. Courroucé par cet acte, le gouvernement vient de lancer la traque. De ceux qui ont enfariné le ministre de la jeunesse et tabassé l’ambassadeur du Cameroun en Belgique…
Le ministre de la Communication porte-parole du gouvernement annonce que des mesures ont d’ores et déjà été prises. Pour retrouver les auteurs des actes violence sur les deux responsables sus-cités. Selon René Emmanuel Sadi, les auteurs seront interpellés et renvoyés au Cameroun.
Pour le gouvernement, il est désormais question de faire en sorte que tout camerounais où qu’il soit. Et aussi longtemps qu’il se prévaut de cette nationalité, voire de ce privilège. Est tenu de respecter les institutions de la République, ainsi que celles et ceux qui les incarne