Le président des jeunes patriotes du Cameroun délivre un message de soutien et de motivation aux enseignants.
Selon le gouvernement, la rentrée scolaire 2024 est prévue pour ce lundi 9 septembre 2024 sur l’ensemble du triangle national. Pour faire simple, de nombreux élèves reprendront le chemin des classes ce jour. Bien avant, les enseignants ont , eux aussi ,déjà eu droit à leur rentrée.
En ce moment où l’éducation est confrontée à des défis sans précédent, les jeunes démocrates du Cameroun réunis autour de leur président, ont bien voulu exprimer leur gratitude et leur admiration les plus profondes pour tout ce que font les enseignants. De véritables héros de l’éducation, travaillant sans relâche pour nous assurer que nos enfants reçoivent la meilleure éducation possible.
« Votre dévouement, votre passion et votre engagement envers l’enseignement sont une source d’inspiration pour nous tous. En un moment où l’éducation est plus importante que jamais, vous êtes en première ligne, travaillant pour vous assurer que nos enfants aient les outils nécessaires pour réussir dans la vie », assurent les jeunes démocrates du Cameroun.
Et de poursuivre: « Nous voulons vous envoyer un message fort de soutien et de gratitude. Merci pour tout ce que vous faites ! Merci pour être les défenseurs de l’éducation ! Merci pour être les modèles à suivre pour nos enfants ! »
« Nous continuerons à travailler ensemble pour nous assurer que l’éducation soit une priorité dans notre société. Merci encore pour votre dévouement sans faille ! » promettent- ils.
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Il convient de souligner que la rentrée scolaire 2024 comme la précédente s’inscrit dans un contexte marqué par la crise anglophone….et la vie chère. Depuis des lustres, de nombreux parents ne savent plus à quel saint se vouer.
Les nombreuses coupes successives de salaires ont eu un véritable impact sur le panier de la ménagère. Inscrire un enfant n’est pas une sinécure tant les frais de scolarité dans certains établissements sont passés du simple au double. N’en parlons pas des fournitures scolaires et autres frais y afférents.
Conséquence de nombreux enfants peinent à avoir une scolarité régulière, faisant ainsi grimper le taux d’analphabétisme dans un pays où l’informel est devenu un véritable refuge pour la jeunesse.
