L’influenceuse Flore de Lille, qui vit à Paris, a été arrêtée à Douala dans la nuit du 21 mai 2025. Des sources évoquent une plainte, pour injures et diffamation, déposée contre elle.
L’influenceuse et entrepreneure camerounaise Flore de Lille a été arrêtée par des gendarmes à Douala. L’arrestation aurait eu lieu dans la nuit du mercredi 21 mai 2025, alors qu’elle se trouvait au Cameroun pour un court séjour. Pour l’heure, les raisons exactes de cette interpellation n’ont pas été officiellement communiquées.
Toutefois, certains évoquent une plainte déposée contre elle pour injures et diffamation sur la plate-forme Facebook. Il s’agit des propos que l’influenceuse aurait tenus contre l’homme d’affaire camerounais Raymond Tchengan. Par la suite, comparue au tribunal de première instance de Yaoundé, la «Pdg» a été condamnée à verser une somme. Laquelle s’élève à 10 millions de Fcfa.
Dans une vidéo diffusée peu après son arrestation, la blogueuse d’origine camerounaise, sollicite l’aide de son pays d’accueil. Le but est qu’il réagit face à cette situation, dans laquelle elle se retrouve incarcérée.
À l’heure actuelle, les autorités compétentes n’ont pas publié de communiqué officiel concernant ce dossier. De ce fait, le statut actuel de Flore de Lille et les suites judiciaires restent donc à préciser.
Une grande attention sur les réseaux
La nouvelle sur l’arrestation de Flore de Lille a suscité une grande attention sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes se demandent si son arrestation devait toujours avoir lieu, étant donné que l’affaire date de 2021. Certains soutiennent que l’influenceuse est victime d’une injustice, tandis que d’autres estiment qu’elle doit répondre de ses actes.
« Je trouve cela injuste, c’est une affaire qui date de 2021, pourquoi la poursuivre maintenant ? » a déclaré un internaute.
« C’est normal qu’elle réponde de ses actes, même si cela prend du temps. La justice doit suivre son cours », a réagi un autre internaute.
« Je pense que l’arrestation de Flore de Lille est un avertissement pour tous ceux qui pensent qu’ils peuvent dire n’importe quoi sur les réseaux sociaux », a commenté un troisième.