Arrestations politiques en Côte d’Ivoire : le parti de Laurent Gbagbo dénonce une vague d’interpellations. Mardi, il affirme que 30 membres ont été enlevés ou arrêtés. Les faits se seraient produits depuis le 1ᵉʳ août. Plusieurs villes sont concernées, dont Abidjan.
Le climat politique se crispe en Côte d’Ivoire. Le scrutin du 25 octobre approche. La justice a exclu plusieurs figures de l’opposition. Laurent Gbagbo fait partie des candidats rejetés. Le Conseil constitutionnel valide ces décisions. L’opposition dénonce une manœuvre politique. La justice a validé ces décisions. L’opposition dénonce une manœuvre politique.
Le PPA-CI alerte sur les disparitions. Depuis le 1ᵉʳ août, le PPA-CI recense 29 cas. Le PPA-CI dénonce une vague d’interpellations. Des militants auraient été enlevés ou arrêtés. Les faits se seraient produits depuis le 1ᵉʳ août. Le parti évoque une répression ciblée. Le parti dénonce une répression ciblée. L’opposition demande des explications officielles. Sébastien Dano Djédjé l’a déclaré en conférence de presse. Le parti dénonce une répression ciblée.
Il s’indigne face aux arrestations politiques. « Personne ne devrait voir un proche disparaître pour ses opinions. » Il alerte : certaines familles restent sans nouvelles depuis des semaines. Le climat politique inquiète les défenseurs des droits.
Le PPA-CI a transmis une liste à l’AFP. Elle recense plusieurs personnes interpellées. Parmi elles : Moïse Lida Kouassi, ex-ministre de la Défense. On y trouve aussi Pascale Zahouly, députée suppléante à Yopougon. Le cyberactiviste Ibrahim Zigui figure également sur cette liste.
– Opposition sous pression : arrestations, exclusions et tensions à l’approche du scrutin –
Les deux premiers sont accusés de violences à Yopougon. Les faits remontent au début août. Ils auraient dégradé un bus et une voiture de police. La justice les inculpe pour « acte terroriste ». L’opposition dénonce une criminalisation politique.
Une plainte a été déposée début septembre. Elle concerne l’enlèvement et la séquestration d’Ibrahim Zigui. Le cyberactiviste figure parmi les personnes interpellées. Le PPA-CI dénonce une répression ciblée. Son avocat avait ensuite indiqué avoir pu le rencontrer en prison à Abidjan.
Les autorités judiciaires restent silencieuses. Les autorités restent silencieuses. Aucune déclaration officielle n’a été publiée. Le flou alimente les inquiétudes. L’opposition réclame des explications claires. Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement, a réagi. Il affirme à l’AFP qu’il n’y a eu aucun enlèvement en Côte d’Ivoire.
Le PDCI a réagi en juin. Le principal parti d’opposition a dénoncé une vague d’arrestations. Il dénonce une répression ciblée. Le climat politique reste tendu.
Le Conseil constitutionnel a rejeté la candidature de Tidjane Thiam. Le leader du PDCI subit le même sort que Laurent Gbagbo. L’opposition dénonce une exclusion ciblée. Le climat préélectoral reste tendu.
Les deux hommes ne pourront pas affronter le président sortant Alassane Ouattara, candidat à un quatrième mandat le 25 octobre.
Lundi, des militants du parti de Gbagbo ont déposé des motions. Ils contestent l’exclusion du scrutin. Ils dénoncent aussi le quatrième mandat. L’opposition le juge inconstitutionnel.
Source : Agence France-Presse