Du 20 au 27 juillet 2025, Yaoundé va accueillir la 6ᵉ édition de la Coupe du Monde de la presse culturelle.
Un évènement culturel pas comme les autres. La capitale politique s’apprête à accueillir la 6 e édition de la coupe du monde de la presse culturelle. Baptisée « Grand Prix Francophilie des Médias », elle est prévue pour se tenir du 20 au 27 juillet prochain.
L’annonce est faite par la présidente du comité d’organisation et présidente-fondatrice du Réseau des journalistes culturels du Cameroun (RJ2C). G-Laurentine Assiga invite la communauté médiatique nationale. Et internationale à prendre une part active à cette 6ᵉ édition de la Coupe du Monde de la Presse Culturelle.
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Célébrer l’excellence dans la presse culturelle
Depuis la 3ᵉ édition, Yaoundé, devient officiellement le temps d’une semaine la capitale mondiale de la presse culturelle. Selon la présidente du comité d’organisation, l’édition 2025, sous le thème « Architecture “, offrira une série d’ateliers. De conférences et de concours de rédaction qui rassembleront des professionnels. Des journalistes et des artistes de renommée internationale pour débattre des enjeux culturels mondiaux.
L’événement est coparrainé par le ministère de la Communication et le ministère des Arts et de la Culture. Des acteurs majeurs dans la valorisation de la culture et du journalisme vont y prendre part.
Il faut souligner que « cet événement sera également l’occasion de célébrer l’excellence. Dans la presse culturelle à travers des échanges de haut niveau. Et une reconnaissance des meilleures pratiques dans le secteur ». La date limite de recevabilité des articles et photos reste fixée au 27 avril 2025 à 12h.
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Une belle initiative
La presse, les professionnels de la culture, ainsi que tous les passionnés invités. A participer massivement à cette grande célébration de l’excellence et à marquer leurs agendas pour ces dates clés. Pour les observateurs de la scène culturelle, c’est une belle initiative.
« Je tiens à féliciter le porteur de ce projet. C’est dire que la culture peut apporter dans notre pays. Il faut juste que les gouvernants s’y penchent vraiment », dit Claude Eboa.
