Les projets de société de certains partis politiques sont rendus publics pour la présidentielle de 2025. Une fois aux affaires, le gouvernement version Ums imitera le modèle britannique.
Au cours d’une émission à Douala, Serge Gautier Onanena s’est appesanti sur l’opportunité. Et la pertinence de la sortie Gecam à l’intention des candidats de cette présidentielle. Le communication y a présenté le position de Pierre Kwemo. Candidat de l’Ums à l’élection présidentielle du 12 octobre 2025.
Adossant son argumentaire sur les thèses du prix Nobel 2024, Daron Acemoglu. Il déclare : « La réponse que nous faisons nôtre à l’UMS se trouve dans l’application d’une politique. Et d’une économie inclusive qui ont l’avantage d’accélérer rapidement la croissance…. ».
Réduire l’endettement
Avant de souligner qu’une fois aux affaires, le gouvernement version Ums imitera le modèle britannique. À propos de la question des infrastructures, il rappelle que l’Ums a adopté les thèses de l’ingénieur financier Babissakana. Qui propose un changement de paradigme budgétaire à travers l’abandon des 70% pour le fonctionnement. Et 30% pour l’investissement.
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« Le visage infrastructurel du Cameroun ne peut véritablement. Et positivement changer que si on augmente la part de l’investissement à concurrence de 35 à 45% . Cette augmentation aura par ailleurs pour conséquence de réduire l’endettement du Cameroun. Sachant que cette part peut appuyer considérablement la construction. De certaines infrastructures d’envergure », affirme la communication de Pierre Kwemo.
Durée de réalisation des projets
Il poursuit: « nous devons par ailleurs veiller à écourter la durée de réalisation des projets. Afin qu’ils cessent de nous coûter trois fois plus cher que la normale à cause d’une mauvaise maturation. Ainsi que des pesanteurs diverses qui les plombent généralement, à l’instar de la corruption entre autres ».
Dans les recettes budgétaires de l’Etat, le secteur privé national contribue minimalement à hauteur d’au moins 75%. Puisque ces recettes proviennent principalement du paiement des impôts, des recettes de la douane. Et des produits du sol et du sous-sol tels que le cacao, le café. La banane, l’hévéa, le pétrole et le gaz entre autres.
Le reste du budget étant complété par les emprunts. Une telle contribution dans le tissu économique national ne saurait justifier un dénigrement. De l’organisation patronale du Cameroun et des positions du secteur privé national qu’il a choisies de porter.
Les richesses et les emplois
Selon ce communicateur de l’Ums, c’est le secteur privé qui crée les richesses et les emplois dans notre pays. Son avis est non seulement par conséquent légitime, mais surtout très indispensable opportun. Car selon la Banque Mondiale, 8 millions de Camerounais seront pauvres en 2026. Et selon l’Institut National de la Statistique, 74% des jeunes âgés de 20 à 30 ans sont au chômage.
Des informations recueillies au sein de la BEAC. Le Cameroun a largement dépassé le seuil de l’inflation de la zone CEMAC. « Il est urgent d’accompagner le secteur privé national à travers des concertations ».
Et « des solutions concrètes qui lui permettent d’aider l’Etat dans les questions relatives à la demande sociale qui pèse de plus en plus sur lui », conseille Serge Gautier Onanena . Qui avoue « n’avoir pas pu épuiser le chapelet des propositions de solution du candidat. Copte tenu du temps imparti à l’émission »