Lady Ponce dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, apporte son soutien au président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT).
Elle fait savoir que Samuel Eto’o est son « combat » un peu comme pour dire qu’elle le soutiendra sans faille dans toutes les démarches qu’il entreprendra à la tête de l’instance faitière du football.
Après la suspension du staff technique nommé par Samuel Eto’o le 21 mai dernier par la Chambre de conciliation et d’arbitrage (CCA) et approuvée par le Comité national olympique et sportif du Cameroun CNOSC suite à la demande de l’Association des clubs de football amateur du Cameroun (ACFAC) et de la Ligue de football professionnel du Cameroun (LFPC), l’artiste musicienne Lady Ponce tient à témoigner malgré tout son soutien indéfectible à Samuel Eto’o.
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En effet, l’artiste dans un message diffusé sur la toile, ne cache pas l’affection qu’elle porte au président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). « Même un prisonnier à des droits, Samuel Eto’o mon combat, mon frère adoré comme je suis fière de toi. Heureuse du fait que tu fasses valoir tes droits. Oui tu as des droits, tu as gagné ce poste par un vote, pas par une nomination. S’ils veulent que tu abandonnes ce poste, ils attendront les prochaines élections. Beaucoup ne comprennent pas que tu puisses faire valoir tes droits. Ils sont toujours là en train de faire comme si le pays tout entier leurs appartient. Ils se prennent pour des dieux pour piétiner ceux qui refusent de faire des courbettes. Jusqu’à preuve du contraire, tu restes le seul et unique président de la FECAFOOT. Comme toujours, ils veulent te museler… », déclare-t-elle.
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Comme un appel aux bénédictions divine elle poursuit : « Je n’ai jamais vu autant d’acharnement sur un président de la Fécafoot. Qu’on te laisse finir ton mandat. Ils pensent êtres les dieux et se prennent pour Dieu pour traîner dans la boue le digne fils du monde que tu es. Ils ont passé leur temps à traîner dans la boue, tous les dignes fils du Cameroun qui ont gagné leurs vies en passant leur temps à travailler dignement. Rien ne va t’arriver que le seigneur te bénisse ».
