Selon cette organisation de défense des droits de l’homme, la situation des filles et femmes défenseures entre 2023 et 2024 est inquiétante.
Le rapport 2023-2024 présenté par le Réseau des Droits humains en Afrique centrale, REDHAC sur la situation des filles et femmes défenseures des droits de l’homme au Cameroun et au Tchad donne le tournis. Mercredi 27 novembre dernier, les hommes et femmes de médias ont découvert ce rapport du REDHAC publié dans un livre de 74 pages reparties en deux chapitres. Le premier chapitre porte sur les instruments et les mécanismes de protection des défenseurs des droits humains tandis que le second évoque pour sa part les types de violences faites aux filles et femmes défenseures des Droits humains au Cameroun et au Tchad.
Dangers des discours de haine : le REDHAC sensibilise dans les établissements
Il faut dire que ce rapport évoque la typologie de violences faites aux filles et femmes défenseures des Droits humains au Cameroun et au Tchad, et les cas d’illustration de violences multiformes sur les filles et femmes. A propos de la typologie de violences exercée sur les filles et femmes défenseures des Droits humains, il y a les violences basées sur le genre . Parmi elles, les violences physiques, les violences psychologiques et les violences sexuelles.
A noter que lesdites typologies de violence se caractérisent par les agressions physiques, les propos haineux voire masochistes ainsi que des agressions sexuelles pour rabaisser et soumettre la fille ou femme défenseure des Droits humains au Cameroun et au Tchad. Selon ce rapport, dans les deux pays, une vingtaine de cas de filles et femmes défenseures des Droits humains ont subi différents types de violence.
Au regard de cette triste réalité, la directrice exécutive du REDHAC, Dr Maximilienne Ngo Mbe tire la sonnette d’alarme. Non sans interpeller toutes les pouvoirs publics. sur la défense des Droits humains par les filles et femmes dans les deux pays. Au Tchad comme au Cameroun, les filles et femmes défenseuses des droits de l’homme sont victimes des stigmatisations de toutes sortes.
Étaient présents à cette cérémonie, le représentant du Centre des Nations unies pour les Droits de l’Homme et la démocratie, le représentant du gouverneur de la région du Littoral, le représentant de l’armée, le représentant de la Commission Droits de l’Homme du Cameroun, les chefs traditionnels, les autorités religieuses, la Co-Présidente du Conseil d’administration du REDHAC, Me Alice Nkom, Henriette Ekwe, les avocats…..
















