Selon les témoignages, Dorcas aurait été assassinée dans cet boite de nuit par un policier qu’elle aurait rencontré à cet endroit le 12 mars 2025.
Dans la nuit du 11 au 12 mars 2025, une tragédie a frappé la capitale politique du Cameroun. Dorcas, une jeune fille, aurait été assassinée dans une boite de nuit, par un policier en service, OYONO Cyrille. Ce que nous rapporte le magazine web « Info Times 237 ». Ainsi, la revue numérique a relevé des témoignages, racontant les circonstances du drame.
En effet, que Dorcas s’était rendue dans le lieu de distraction, avec sa colocataire qu’elle hébergeait depuis un temps. C’est ainsi qu’à travers sa copine, elle avait fait la connaissance d’OYONO Cyrille, le policier.
L’ambiance semblait être détendue entre les trois personnes, jusqu’à ce que Dorcas se rende aux toilettes. Sur cette action, le policier s’est aussi engagé à faire de même.
Arrivé dans les vestiaires, OYONO Cyrille aurait demandé à Dorcas d’avoir des relations sexuelles avec lui. Chose qu’elle aurait refusée. De fait, il aurait alors tenté d’abuser sexuellement d’elle.
Après une lutte acharnée, il aurait sorti son arme et tiré sur le ventre de la jeune fille.
À la suite de ce malheur, Dorcas a été conduite d’urgence dans un établissement hospitalier. Mais malheureusement, elle n’a pas survécu malgré les efforts des médecins, pour la sauver.
OYONO Cyrille n’a pas été interpellé.
Il est dit que jusqu’à présent, OYONO n’a pas été interpellé pour avoir hotté la vie à Dorcas. Cette situation a remonté de nombreux observateurs ayant eu vent de la nouvelle. L’un d’entre eux s’est indigné en disant :
« Comment peut-on se sentir en sécurité lorsque, ceux qui sont censés nous protéger deviennent les auteurs de violences ? » Et un autre a ajouté : « La vie d’une jeune personne a été fauchée et les autorités gardent le silence… » Cette situation remet en lumière les défaillances du système de sécurité.
Et elle soulève également des interrogations sur la responsabilité de ceux qui portent l’uniforme. Les répercussions de ce meurtre vont bien au-delà de la perte tragique d’une vie. Elles touchent tous les citoyens, qui commencent à remettre en question la confiance qu’ils accordent aux représentants de la loi.