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Le Rdpc peut-il remettre le Sénat et l’Assemblée en marche.

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Les deux institutions restent bloquées faute de désignation des présidents par le parti au pouvoir.

Plus de deux semaines après les ouvertures solennelles des sessions inaugurales de l’Assemblée nationale et du Sénat, les deux institutions restent bloquées. Le fonctionnement du Sénat et de l’Assemblée nationale est troublé du fait de l’inexistence légales des bureaux des deux chambres.

A l’Assemblée nationale, le président sortant, l’honorable Cavaye Yeguie Djibril fait l’objet de contestations internes du fait des présomptions de mal gouvernance. Surtout l’homme au perchoir depuis 1992 ne semble plus dans les cordes de la hiérarchie du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) qui, selon des sources, multiplie des simulations pour lui désigner un remplaçant.

Les deux Chambres parlementaires sont à l'arrêt

 

 

 

 

 

 

 

A lire: L’Assemblée nationale et le Sénat à l’arrêt.

 

Au Sénat, le président en poste depuis la mise en place de l’institution, il y a une dizaine d’années paraît passablement amoindri par le poids de l’âge et des soucis de santé. Annoncé en internement dans un hôpital parisien par ses détracteurs, Marcel Niat Njifenji tarde à regagner le Cameroun malgré les multiples annonces de son retour.

Pour sûr l’indisponibilité des deux hommes et les tractations qui se multiplient dans les cénacles du Rassemblement démocratique du peuple camerounais portent un grand coup au fonctionnement des institutions républicaines. Dix sept jours après l’ouverture des sessions inaugurales de l’année 2024, aucun projet de loi ne peut être déposé ou examiné par les parlementaires.

Dans l’espace sociopolitique, la situation est telle que des acteurs politiques de l’opposition appelle les députés et les sénateurs à siéger pour rétablir les deux institutions dans la légalité. Reste que les deux chambres, majoritairement occupées par les élus du Rassemblement démocratique du peuple camerounais ne semblent pas résolu à faire face à la haute hiérarchie du parti au nom du rétablissement de l’ordre constitutionnel.

Les deux institutions restent bloquées faute de désignation des présidents par le parti au pouvoir.

Plus de deux semaines après les ouvertures solennelles des sessions inaugurales de l’Assemblée nationale et du Sénat, les deux institutions restent bloquées. Le fonctionnement du Sénat et de l’Assemblée nationale est troublé du fait de l’inexistence légales des bureaux des deux chambres.

A l’Assemblée nationale, le président sortant, l’honorable Cavaye Yeguie Djibril fait l’objet de contestations internes du fait des présomptions de mal gouvernance. Surtout l’homme au perchoir depuis 1992 ne semble plus dans les cordes de la hiérarchie du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) qui, selon des sources, multiplie des simulations pour lui désigner un remplaçant.

partis

A lire:Echéances électorales: que cache la création de nouveaux partis ?

 

Au Sénat, le président en poste depuis la mise en place de l’institution, il y a une dizaine d’années paraît passablement amoindri par le poids de l’âge et des soucis de santé. Annoncé en internement dans un hôpital parisien par ses détracteurs, Marcel Niat Njifenji tarde à regagner le Cameroun malgré les multiples annonces de son retour.

Pour sûr l’indisponibilité des deux hommes et les tractations qui se multiplient dans les cénacles du Rassemblement démocratique du peuple camerounais portent un grand coup au fonctionnement des institutions républicaines. Dix sept jours après l’ouverture des sessions inaugurales de l’année 2024, aucun projet de loi ne peut être déposé ou examiné par les parlementaires.

Dans l’espace sociopolitique, la situation est telle que des acteurs politiques de l’opposition appelle les députés et les sénateurs à siéger pour rétablir les deux institutions dans la légalité. Reste que les deux chambres, majoritairement occupées par les élus du Rassemblement démocratique du peuple camerounais ne semblent pas résolu à faire face à la haute hiérarchie du parti au nom du rétablissement de l’ordre constitutionnel.

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