Maurice Kamto,président du Mrc, réagit à la suite d’un communiqué du secrétaire général du comité central du Rdpc adressé à certains leaders de l’opposition.
Le14 décembre dernier, le secrétaire général du comité central du Rdpc avait commis un communiqué. Pour, mettre en garde certains leaders politiques qui s’aviseraient à préparer les consciences à des violences éventuelles. Dans la perspective de défaites annoncées.
Quelques jours plus tard, la réaction du mouvement pour la renaissance du Cameroun ne s’est pas faite attendre. Dans une déclaration, le Pr Maurice Kamto affirme que le Secrétaire Général du RDPC qui, parle de défaite annoncée de certains. N’a sans doute pas réalisé que ce sont ses propres camarades du parti qui annoncent depuis 2023 au moins la défaite du RDPC. A la présidentielle à venir et ne trouvent pour seule issue à leur débâcle qu’un « coup d’Etat militaire ». Qui priverait le candidat élu du MRC du pouvoir.
Poursuivant le président du Mrc déclare que le Secrétaire Général du RDPC aurait au moins dit ne fût-ce qu’un demi-mot pour dénoncer cet appel funeste. A un acte antirépublicain par excellence, par des communicants officiels et attitrés de son parti. » Il se bouche les oreilles pour ne pas entendre. Les mêmes, et plus encore le Ministre de l’Administration Territoriale, militant notoire de son parti« .
A qui le Mrc fait le procès d’avoir , dit-il, claironné depuis 2021 au moins. Non même pas que le MRC ne pourra pas présenter de candidat au prochain scrutin présidentiel. Mais que son Président National ne sera pas candidat à ladite élection. Et ce, constate le Mrc, contrairement à l’état actuel du droit sur la question.
« Qui donc fait preuve de « fébrilité » et agite un spectre illusoire de nature à « susciter et entretenir un climat généralisé de peur? » Se demande le Mrc. Pour qui, l’histoire ne s’écrit pas avec une gomme et aucune tentative d’inversion des rôles ne trompera les Camerounais. Sur, la nature réelle du régime RDPC et ses faits d’armes terroristes.
En adaptant les propos d’un penseur français, Blaise Pascal, Maurice Kamto souligne qu’au lieu de faire que ce qui est juste soit fort. Le régime actuel a fait que ce qui est fort soit considéré comme juste.
















