Chelsea a écrasé le Paris Saint-Germain (3-0) pour remporter la première édition élargie du Mondial des Clubs. Au-delà du spectacle sportif, le club londonien repart avec une récompense colossale : 125 millions de dollars. Un triomphe total, sur la pelouse comme dans les comptes.
Le 13 juillet 2025, Chelsea a battu le Paris Saint-Germain trois buts à zéro, lors d’une finale entièrement maîtrisée. Le match s’est tenu au MetLife Stadium, aux États-Unis, devant près de 82 000 spectateurs venus assister à l’événement planétaire.
Cole Palmer a marqué deux buts sublimes et délivré une passe décisive, s’imposant comme l’homme fort de la soirée. Grâce à sa performance, Chelsea a remporté la première édition élargie du Mondial des Clubs, organisée par la Fifa.
Les Parisiens, pourtant favoris sur le papier, n’ont jamais su contrer l’intensité et l’organisation tactique des Blues anglais. João Pedro a scellé le score à la 76e minute, concluant une action collective d’école, dans une défense parisienne dépassée. Le Psg repart sans titre, mais avec une prime financière avoisinant les 85 millions de dollars, malgré cette lourde défaite.
De son côté, Chelsea emporte une dotation colossale de 125 millions de dollars, la plus élevée jamais versée par la Fifa. La cagnotte totale du tournoi atteignait un milliard de dollars, redistribuée entre les 32 clubs qualifiés selon leur parcours. Le Bayern Munich, éliminé en quarts de finale, a tout de même perçu environ 50 millions d’euros pour sa participation.
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Cette édition marque un tournant stratégique
Cette édition marque un tournant stratégique : le Mondial des Clubs devient un véritable levier économique pour les grandes équipes mondiales. Les dirigeants de clubs saluent la rentabilité de la compétition, malgré les critiques liées à la chaleur et à l’organisation. Le président de la Fifa Gianni Infantino a félicité les vainqueurs et promis des améliorations pour les prochaines éditions, prévues tous les quatre ans.
Chelsea, victorieux sur tous les plans, confirme son statut de club dominant, aussi performant sportivement que stratégiquement sur le marché. Ce sacre restera un moment fort du football mondial, associant spectacle, innovation et gains financiers sans précédent dans l’histoire.