La crise anglophone continue de réjouir les leaders des groupes armés qui ont décidé de communiquer sur leurs crimes. Ils se sont mis pour revendiquer les attaques meurtrières dans l’Ouest et le Nord-Ouest.
En effet, ils ont choisi de faire dans les réseaux sociaux. Et c’est alors qu’un site internet est bien animé par Mark Bareta. D’ailleurs depuis la Belgique, le site a rapporté ce 24 mars 2025 des informations sur les attaques menées.
Une série d’attaques meurtrières
C’est ainsi que les combattants armés ont revendiqué une série d’attaques meurtrières menées. Par leurs « troupes » dans les régions du Nord-Ouest et de l’Ouest. De surcroît, ils nous révèlent qu’en date du 19 mars 2025, les assaillants lourdement armés, ont attaqué un poste de gendarmerie dans l’Ouest. Et cette attaque a «coûté la vie à au moins un gendarme et un policier, et fait plusieurs blessés », selon des sources locales ».
Aussi, les assaillants « se seraient emparés d’armes. Et de matériel militaire avant de se replier », ont écrit les séparatistes. De même, une autre attaque, confirmée par des lanceurs d’alertes, aurait eu lieu le même jour dans la même région.
La mort d’un gendarme et d’un policier à Magba
Sur ce point, le site se félicite presque de la mort d’un gendarme et d’un policier à Magba. Somme toute, les séparatistes auraient également mené une attaque à Bamenda, principale ville du Nord-Ouest. Et le site parle bien de deux jours après l’autre attaque. Et Mark Bareta rapporte qu’un civil aurait été tué lors de cet assaut.
Par contre, les autorités militaires Camerounaise n’ont fait aucune déclaration par rapport à cette propagande meurtrière relayée sur les réseaux par cet activiste séparatiste. Dans l’ensemble, les attaques des séparatistes armés se poursuivent dans les régions en crise du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Seulement elles sont devenues mois fréquentes.
Reprise des activités dans les zones en conflit
Bref, l’armée régulière camerounaise fait les opérations de maintien de l’ordre. Les autorités annoncent la reprise des activités dans les zones dites en conflit. Néanmoins, revenant sur conflit, les sources officielles parlent de près de 2 000 hommes en tenue qui auraient péri. Et il dure depuis 2017. Aussi, l’Onu estime à environ 6 000 le nombre de morts. Et plus de 30 000 réfugiés au Nigeria. Et des milliers de déplacés internes.
















