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Commerce vertueux : Comment sortir des millions d’Africains de la pauvreté

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C’est l’objectif que s’est fixé un opérateur à travers une application spécialement conçue à cet effet. L’idée séduit par sa simplicité. Développer un système de commerce vertueux qui est  participatif et inclusif et qui enrôle les consommateurs en leur redistribuant des ristournes.

Une sorte de commerce vertueux encore appelé commerce tripartite, en opposition au commerce triangulaire, qui ambitionne de mettre directement en contact le consommateur final avec le producteur et ou grossiste à travers une application spécialement dédiée qui à la fin du processus, permet de générer des ristournes qui seront redistribuées, au prorata de leur consommation, aux différents clients préalablement enregistrés sur la plateforme, en l’occurrence Sopaki, solidarité panafricaine selon Kitio, téléchargeable gratuitement.

Concrètement, il s’agit d’un système dans lequel chaque consommateur est enrôlé de façon automatique et est recyclé au fur et à mesure qu’il gravit les trois catégories qui composent l’architecture de l’application. Ici, le promoteur de l’application tient à faire une précision : Il ne s’agit pas d’un système Ponzi ou du marketing du réseau.

Le client ne construit aucun réseau, ne paie aucun frais pour s’inscrire et n’a besoin de n’entretenir aucun réseau. De fait, le client achète son produit, par exemple son pack d’eau, au prix habituel. Ce sont ses différents achats cumulés qui lui génèrent autant des ristournes qu’il acquiert ses produits directement du producteur…« Je crois en ce projet, a rappelé Christian Kitio, le promoteur de cette application. J’ai passé plusieurs années à réfléchir comment faire sortir mes compatriotes de la pauvreté. Aujourd’hui, je crois avoir trouvé la solution, permettre aux consommateurs de gagner de l’argent tout en achetant leurs produits de consommation courante à travers un système de redistribution de ristournes. C’est une façon pour moi d’apporter ma pierre à l’édification de la maison Cameroun et plus globalement, à la maison Afrique », a conclu Christian Kitio.

 

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