Raoul Christophe Bia et 6 autres journalistes ont été traînés en justice par la FECAVOLLEY le 19 Juillet dernier, pour avoir propagé la rumeur selon laquelle des encadreurs de l’instance faitière auraient enceintés 5 de ses joueuses mineures.
Un scandale secoue actuellement la Fédération camerounaise de volleyball (Fecavolley) suite à des allégations choquantes d’abus sexuels sur 5 de ses joueuses mineures. Raoul Christophe Bia un ancien grand reporter de la chaine Vision 4 et six autres journalistes impliqués dans la propagation de ces rumeurs ont fait l’objet d’une plainte déposée auprès du tribunal de grande instance du Mfoundi à Yaoundé le 19 Juillet dernier. Par Bello Bourdane encadreur à la Fécavolley.
Outre Christophe Bia les autres journalistes impliqués dans cette affaire sont Serges Tamba, Richard Naha et les directeurs des publications des médias en ligne « Camvolley », et « Cam web ». Ils sont accusés d’avoir utilisé leurs plateformes pour propager ces informations à travers des contenus écrits et oraux.
Concernant l’ancien journaliste de la chaine d’Amougou Belinga, il est accusé d’avoir relayé ces informations infondées via un reportage sur le plan international.
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Selon les avocats de la Facavolley, « ces productions portent atteinte à l’image et la considération des dirigeants de la FECAVOLLEY. Qui subissent un préjudice considérable tant au niveau nationale qu’internationale » ont-ils déclaré.
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En effet, des rumeurs circulaient sur les réseaux sociaux il y’a quelques temps et faisaient état de ce qu’ il y aurait eu des abus sexuels sur des jeunes filles âgées de 16 à 18 ans de la part des responsables de l’équipe nationale de volleyball. Ces révélations surviennent après les confidences d’une joueuse anonyme au site Africa Top Sports il y a plusieurs semaines.
Selon son témoignage, le président de la fédération aurait eu des relations sexuelles avec des joueuses en leur promettant une place aux Jeux Olympiques. Selon ces informations qui circulaient, cinq joueuses seraient actuellement enceintes suite à ces abus.
