A l’étranger, la problématique des insertions des ressortissants d’Afrique et du Cameroun en particulier est réelle.
Une rencontre est annoncée pour 23 février 2025 à Yaoundé pour les aider à trouver des emplois à l’étranger. Un grand moment d’échange et d’orientation pour les jeunes en quête de nouveaux horizons.
En premier lieu, « L’Etudiant étrange » une agence spécialisée dans l’accompagnement pour la mobilité des étudiants vers l’étranger et au Cameroun. C’est elle qui va organiser la conférence. Il va être question de mieux édifier les étudiants et élèves camerounais sur les opportunités d’emploi à l’étranger.
la France et les Etats-Unis d’Amérique
Ainsi, les pays sont bien ciblés. Il s’agit bien évidement de la France et des Etats-Unis d’Amérique. Le thème choisi est évocateur. On va cerner les contours des «Formation et emploi au Cameroun et à l’étranger ».
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Un emploi de qualité en France
Quant à la conférence, les organisateurs ont opté deux options. Ce sera en présentiel et en visioconférence. Cela va, selon eux, permettre de dévoiler au public les voix d’accès pour obtenir un emploi de qualité en France. Et pour mieux édifier les participants, un appel a été fait à des experts dans divers domaines.
Pour commencer, un conseiller d’orientation. Ensuite un expert de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (Béac). Un ingénieur statisticien et enfin un représentant du Fonds national de l’emploi (Fne). Le panel sera au complet avec Wim Anneke Shepherd, directeur général de Wilan University consulting. On annonce également la présence d’André Amadou Ali, associé de l’agence « L’Etudiant étranger ».
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Ainsi, dans les milieux estudiantins, on s’active à participer à la rencontre. Quelques-uns rencontrés dans les rues, se préparent à y participer. « C’est un ami qui m’a informé via réseaux sociaux. Je vais partir à Yaoundé », dit Jacques Nomba.
«Le moment venu on va nous communiquer les liens pour participer en vidéo conférence. J’attends », explique M. Bodulè.
En somme, ladite agence veut se démarquer sur le terrain de l’accompagnement des étudiants camerounais désireux de migrer vers l’étranger. Les explications données par André Amadou Ali vont dans ce sens. «La plupart des agences qui opèrent dans le secteur mettent l’accent sur la formation et délaissent l’emploi ». Ceci fait qu’au « terme des études, plusieurs jeunes diplômés se retrouvent au chômage malgré leur potentiel », explique-t-il.
