L’avocat au barreau du Cameroun Me André Marie Tassa affirme qu’il se rendra bel et bien chef le commandant de légion le jour dit.
L’avocat au barreau du Cameroun invite les militants du mouvement pour la renaissance à ne point se laisser distraire par cette affaire. Serein comme à son habitude, l’homme de droit et secrétaire de la Fédération régionale du Mouvement pour la renaissance du Cameroun(Mrc) à l’Ouest, vaque en toute quiétude à ses obligations.
Il affirme d’ailleurs faire confiance à la justice de son pays. Même si pour l’instant il dit ne pas savoir « le pourquoi et qui me fait convoquer par le Commandant de la légion de gendarmerie de l’Ouest à Bafoussam. Je vais y déférer pour savoir ce qui m’est reproché».
Pour l’avocat Me André Marie Tassa pas question de deviner qu’il est poursuivi par un ancien militant (déchu ou démissionnaire ?) du Mrc qui réclame à cette formation politique la somme de 80.000 000 Fcfa (quatre-vingt millions de Fcfa). En séjour à la Haye, le Pr Maurice Kamto, président national de cette formation politique est aussi attendu chez le commandant de la légion de gendarmerie de l’Ouest à Bafoussam. Tout comme son conseiller spécial et stratégique, Albert Ndzongang.
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Informés de ce qu’il s’agit des manœuvres politiciennes pour torpiller leurs leaders, certains militants du Mrc attendent des consignes de mobilisation. A travers un post balancé sur les réseaux sociaux, Me André Marie Tassa, les invite au calme. Pour lui, les avocats mobilisés par le Mrc sont aux aguets, en cas d’abus ou de violation des droits de la défense.
À un an de l’élection présidentielle au Cameroun, le Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) et son président national, Maurice Kamto, sont au cœur d’une vive polémique qui alimente les débats sur les plateaux de télévision, les ondes radiophoniques et les réseaux sociaux.
Les prises de position à l’égard de ce parti politique sont divergentes, entre ceux qui critiquent ses actions et son leader, et ceux qui lui apportent leur soutien. Les principaux acteurs de ces débats sont les acteurs politiques ainsi que les membres de la société civile. Plusieurs personnalités politiques ont critiqué ouvertement le Mouvement pour la renaissance du Cameroun lors de leurs interventions médiatiques.
