En compagnie de son collègue de la Santé publique, le ministre d’État, ministre de l’Enseignement supérieur a présidé la douzième session de la Commission nationale de la formation médicale, pharmaceutique et Odontostomatologie du Cameroun (Cnfmpo) à Yaoundé.
Cette importante rencontre s’est tenue hier mercredi 24 juillet 2024 dans les locaux du Centre national de supervision du Réseau interuniversitaire du Cameroun et de développement numérique universitaire. A noter que cette commission qui joue un rôle clé dans la qualité de la formation des professionnels de la santé dans les établissements universitaires du pays, qu’ils soient publics ou privés a été créée le 10 juin 2013 par le Premier ministre.
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Au cours de cette cession, les avancées réalisées dans le cadre du projet E-National higher education network, qui vise à moderniser le système universitaire camerounais ont été saluées par le ministre d’État, ministre de l’Enseignement supérieur. Qui n’a pas manqué d’inviter les participants à continuer à travailler ensemble pour atteindre les objectifs communs. Non sans inviter les uns et les autres à participer ardemment aux échanges pour améliorer substantiellement la qualité de la formation médicale au Cameroun.
« Nous avançons à petits pas certes, mais à pas assurés et les yeux fixés au loin, un horizon qui sera inéluctablement atteint », a reconnu le membre du gouvernement au cours de cette 12e session de la Cnfmpo qui marque une étape importante dans le renforcement du système de formation des professionnels de la santé au Cameroun.
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« Tout en comptant sur la participation active et effective de chacun au cours des échanges, je sais que vos contributions individuelles seront collectivement fructueuses et serviront, j’en suis persuadé, à l’amélioration substantielle de la qualité de la formation médicale au Cameroun. Situons-nous plutôt dans la perspective heureuse de l’idéal constrictif et pragmatique qui est une quête constante, une marche permanente, une sorte de parcours dont la courbe de performance est jalonnée de difficultés avec pour fixation, la victoire finale. Nous avançons à petits pas certes, mais pas assurés et les yeux fixés au loin, un horizon qui sera inéluctablement atteint parce que cela est nécessaire pour l’université camerounaise qui doit être à la hauteur des défis de son époque. Et votre précieux apport est indispensable pour permettre à notre système d’enseignement supérieur de continuer à viser l’excellence en internalisant les mutations sociales, économiques, politiques et technologiques en cours dont la formation médicale est incontestablement l’un des piliers », affirme Fame Ndongo à la fin des travaux.
