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Nkongsamba : un enfant de 3 ans tué et jeté dans un chantier

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La découverte macabre a été faite le 1er février dernier dans la ville de Nkongsamba, chef-lieu du département du Moungo, région du Littoral. 

La nouvelle fait le tour des réseaux sociaux depuis plusieurs heures. Il s’agit de la découverte du corps sans vie du petit Ngonga Daniel âgé de 3 ans. Porté disparu le 31 janvier dernier. C’est finalement dans un chantier du quartier Cité de la Paix de Nkongsamba que « Dani », comme l’appelait affectueusement ses proches, a été retrouvé. Inerte et déshabillé.

L’hypothèse d’un assassinat

Selon les sources, son cou aurait été tranché et tout porte à croire qu’il s’agit d’un crime. Après cette découverte macabre, c’est l’effroi et la consternation qui habitent les populations. Qui, se sont mobilisées pour retrouver le petit Ngonga qui vivait avec son arrière-grand-père depuis la séparation de ses parents.

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Le corps de Daniel a été déposé à l’hôpital régional de Nkongsamba en présence des forces de l’ordre et des autorités locales. Le procureur a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances du meurtre du petit Ngonga Daniel qui ne demandait qu’à vivre.

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Insécurité grandissante

Ce crime de trop est commis alors que l’insécurité est de plus en plus grandissante dans les différentes villes du Cameroun. Enfants, jeunes et adultes, nul n’est véritablement à l’abri des actes criminels. Lesquels sont  orchestrés par des personnes sans foi ni loi.

L’on se souvient il y a quelques mois, la petite Orphée avait été violée avant d’être tuée au quartier Bonapriso à Douala. Les parents de cette fillette de 05 ans continuent de réclamer justice pour cet acte ignoble.

En janvier dernier, la jeune enseignante nommée Ekole avait été assassinée au quartier Kondengui à Yaoundé. Des individus non identifiés s’étaient introduits à son domicile et l’avaient violé à mort. Des pareils cas de meurtres sont fréquemment enregistrés dans le pays. Les Camerounais sont donc invités à être plus prudents et vigilants dans les rues et même dans leurs dos.

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