Après son concert à Bafoussam le 13 décembre dernier, l’artiste Krys M s’est retrouvée au centre d’un vrai buzz. Cette fois, ce n’est pas la voix qui fait le tour, mais la tenue.
Le 13 décembre dernier à Bafoussam, la musique devait take over. Mais au final, ce sont les habits qui ont pris le micro. Krys M montait sur scène pour son concert « Retour aux sources ». mais ce qu’elle ne savait pas encore que le vrai after-party allait se jouer sur les réseaux sociaux.
Le show pourtant était lourd. André Marie Talla était là, Blanche Bailly aussi. Salatiel, Sandrine Nnanga, King Luca, le Chef Baleng et bien d’autres ont répondu présent. La salle vibrait et le public était chaud. Mais quelques jours après, c’est une autre scène qui s’ouvre. Celle de Facebook, Instagram et WhatsApp…massa !!!
La tenue de Krys M commence alors à circuler, les commentaires follow. Les stylistes de quartier sortent leurs analyses. Sur la toile, chacun devient expert fashion, sans CV, sans diplôme.
Cependant, face au buzz, certains artistes décident de stand by Krys M. Mani Bella arrive avec son humour habituel : « Elle mérite la prison ! Krys M je t’aime beaucoup… On ne peut pas te saboter comme ça je laisse. Stp, donne-nous son nom complet. Donne son nom ééé ! Merci. On attend… »
Nobody is perfect
Lady Ponce pour sa part choisit love et respect. La diva du bikutsi écrit : « Des cœurs pour notre boule d’énergie. L’étoile de la culture camerounaise et africaine soit abondamment bénie. Krys M ». Ensuite, elle recadre les internautes. Pour elle, tous les artistes make mistake un jour côté look. Nobody is perfect.
Présent au concert, l’humoriste Moustik le Karismatik ne stay pas quiet. Il dénonce la moquerie facile et le manque de soutien. Selon lui, on ne build pas une industrie culturelle en riant seulement quand ça brûle.
Mais malgré ces soutiens, la vague continue et les critiques aussi. Certains ont même poussé le bouchon en la comparant à « Beyoncé » yeuchhh !!
Anyway beaucoup de courage à elle, car être star au 237, c’est avoir le cardio.
















