Selon Aristide Mono, consultant d’Equinoxe télévision, l’universitaire Owona Nguni serait toujours en train de faire des ragots.
Aristide Mono sait parfois hurler avec des mal élevés. Dans une sortie devenue virale sur les réseaux sociaux, le consultant d’équinoxe télévision chambre l’universitaire. Au point de le traiter de tous les noms d’oiseaux. Qu’est ce qui a bien pu le chagriner à ce point ? La pomme de discorde serait le soutien inconditionnel du premier cité au candidat du Fsnc, Issa Tchiroma Bakari.
« Une vraie racaille sociale ! Un universitaire, c’est aussi de la compétence morale et éthique. Regardez ce que le régime a fait de Mathias, un pauvre kongossiste des réseaux sociaux. Un vice-recteur qui opère régulièrement dans la délation qu’il tente toujours d’imposer. Comme vérité et parfois comme dogme », fulmine Aristide Mono.
Égoïste, chiche et matérialiste
Le consultant d’Equinoxe Télévision affirme que le vice-recteur pense que tout le monde est égoïste, chiche et matérialiste. Surtout lorsqu’il s’agit de la cause commune. « Étant encore vacataire dans les lycées, 45.000 Fcfa de salaires. Je complétais la scoliose de certains de mes élèves. Demande à l’équipe d’Issa si je leur ai déjà demandé même un bonbon ».
« Si c’est un business de T-shirts, indiquez un seul lieu où je les vends. Ou un seul contact en charge de les vendre. Du moment où je partage déjà la maquette du t-shirt pour que chacun puisse reproduire à son niveau. Cela devrait vous parler », déclare Aristide Mono.
Lui qui affirme avoir fait le tour du Cameroun de janvier à juin, dans 7 régions. Où il a distribué des T-shirts. « Demande aux bénéficiaires si je les leur vendais. Un universitaire, c’est aussi sa compétence morale et éthique. Toujours en train de jalouser ceux qui font mieux que vous ».
« Demande-moi comment je finance mes gadgets, je te le dirai. Mais retiens déjà que si je n’ai pas d’argent dans un compte bancaire. Si je n’ai pas de terrain ni de chantier en cours. Si ma famille reste encore dans la misère, c’est parce que j’ai décidé que tant que Biya. Et ses gens seront encore au pouvoir, je mettrai tout ce que je gagne dans la lutte ».
Altruisme sacrificiel
Expliquant son geste, il rappelle : « on appelle cela de l’altruisme sacrificiel. Je finance à 70 % mes projets citoyens. Les 30 % restants sont des aides des amis très proches. Voici mes trois initiatives citoyennes purement altruistes en moins de deux ans ».
« Malgré la disparition tragique de mon enfant : inscrivons-nous d’abord 1, 2024 (sans descentes sur le terrain). Inscrivons-nous d’abord 2 (avec descente de plus de 10 jours dans 7 régions). La Marée Jaune ».
Pour terminer, il reproche à l’universitaire le fait que « depuis plus de 25 ans, rien que le bavardage, aucune initiative de terrain à ton actif ».
















