pixel

Bamendjou : Des trafiquants d’ossements humains aux arrêts

Date:

Pages jaunes
Trans Afrique

Opérant à Bandjoun, ce gang de trafiquants d’ossements humains a été stoppé au centre ville de Bamendjou. il était spécialisé dans les agressions, cambriolages et les  vols à mains armées.

Des malfrats de grand chemin dans les filets  soupçonnés de trafic d’ossements humains ont été pris à Bamendjou. Le 20 juillet 2025 par l’opération tentacule, dont l’un des objectifs est la lutte contre le grand banditisme au Cameroun.

Ces malfrats ont été présentés à la presse le mardi 30 septembre 2025 à la compagnie de gendarmerie de Bandjoun. Par le collégien Abba Sadou et le chef d’escadron Gaël Grégory Ngosso Mvogo. Ce sont des jeunes âgés de 17 ans à 23 ans. Opérant dans l’arrondissement de Bayangam et le centre-ville de Bandjoun. Ce gang de bandits de grand chemin était spécialiste dans les agressions, cambriolages, vols à mains armées.

Les nommés Kamga Simo, Takam Idriss, Takam Fokou. Et Takam, sans oublier le receleur qui avait l’habitude d’acheter les téléphones portables et objets dérobés à de fins malsaines. N’eût été le professionnalisme du Commandant de Compagnie de Bandjoun. Et son équipe  qui veillent au grain à la sécurité et au bien-être de la population. Ce gang serait encore en train de sévir dans la région.

Crèche: Un enfant « noyé » dans un seau à Bandjoun 

La garde dans les cimetières

Au Cameroun, le phénomène prend de plus en plus de l’ampleur. La brigade de gendarmerie de l’Aéroport de Douala avait interpellé deux individus en flagrant délit de vente d’un squelette humain.

L’on se souvient qu’à Mbengwi, au Nord-ouest du Cameroun. Des individus non identifiés fouillent les tombes la nuit et emportent les os des morts. Plusieurs villages de cette partie du Cameroun montent désormais la garde dans les cimetières pour empêcher la profanation des tombes.

Profanation de plusieurs tombes

Au cimetière de Mbengwi, une localité située à 15 km de Bamenda, principale ville de la région du nord-ouest du Cameroun. Des jeunes hommes costauds et quelques anciens montent la garde. La panique s’est installée dans le village après la profanation de plusieurs tombes.

« Nous gardons ces tombes ici, parce que après trois jours, quatre jours ou parfois un an on découvre que des gens viennent les fouiller. Pour enlever les os, c’est pour cela que nous montons la garde. Pour veiller sur les tombes de nos parents », explique Moussa Jean.

- Pub -
Pages jaunes

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Partager :

spot_imgspot_img

Populaires

Dans la même catégorie
Associé

Israël: Netanyahu demande une grâce présidentielle dans son procès pour corruption

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a officiellement demandé...

Prise d’otages : Un organisme dénonce « la mafia catholique »

English Cameroon for a united Cameroon accuse l’église catholique...

Yaoundé : La gendarmerie stop un réseau de faux médicaments

À Yaoundé, la Légion de Gendarmerie du Centre a...

Sud-Ouest : Le BIR saisit migrants et drogue au large de Bakassi

Une opération menée début novembre 2025 par le bataillon...