Selon le Cercle d’éthique et de promotion des journalistes (CEPROJ), la décision du Maire de la ville de Douala, qui est par ailleurs l’autorité de tutelle de l’espace du parcours Vita , vise à remettre les choses à leur place.
La décision continue de défrayer la chronique. Dans certains milieux huppés, elle charrie les passions. Par décision municipale No 140/DM/CAB-M/2026 du 06 décembre 2025, le maire de la ville a suspendu le directeur du parcours Vita de Douala. Njoh Valentin Emmanuel est remplacé par le sieur Moukete Ekoume.
Qui a été porté à la tête de cette structure comme Directeur par intérim, cumulativement avec ses fonctions de Directeur des affaires juridiques et du contentieux à la mairie de la ville de Douala. « Une décision saluée par l’ensemble des observateurs qui n’appréciaient plus les frasques de l’ancien Directeur vis-à-vis de sa hiérarchie », soutient le Cercle d’éthique et de promotion des journalistes.
Lequel constate fort opportunément que « cette décision a été interprétée par plusieurs compatriotes comme une volonté pour Roger Mbassa Ndinè, de régler des comptes. Certains médias ont même indiqué qu’il s’agit d’un problème de cent millions, que l’ancien directeur aurait dénoncé. Essayant de dédouaner Njoh Valentin Emmanuel de toutes les casseroles qu’il trainait déjà à la tête du parcours Vita. Or, il s’agit d’un espace très fréquenté par des sportifs et même des personnes en transite dans la ville, et mérite à ce titre une gestion minutieuse ».
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Réhabilitation des infrastructures routières
Pour le Cercle d’éthique et de promotion des journalistes qui dénonce cette sortie médiatique, il n’en est rien. « La décision du Maire de la ville de Douala, qui est par ailleurs l’autorité de tutelle de cet espace, vise à remettre les choses à leur place. Car, la gestion du parcours Vita était devenue alarmante, dépourvue de rapports qui soient à la hauteur des résultats attendus et donc loin des objectifs qui ont été assignés à l’équipe que dirigeait jusque-là Njoh Valentin Emmanuel », tient-il à préciser.
Dans la même veine, ledit cercle « invite le Maire de la ville de Douala, à ne pas céder à ces écarts de certains confrères. Car, ce rien d’autre qu’un chantage. Il l’invite à poursuivre le travail qu’il a entamé à la tête de toutes les structures de la Mairie de la ville de Douala ».
Le Ceproj l’exhorte enfin à continuer le travail de réhabilitation des infrastructures routières de notre capitale économique, afin de donner un autre visage à notre ville surtout en cette veille de fête de fin d’année.
















